Phèdre embrassant les restes d'Hippolyte
Quasimodo et Esmeralda côte à côte allongés
Toi mon amour, mon cher accolyte
Je ne nous souhaite pas une grande destinée
Peu importe l'incroyable résultat dont le chemin n'en vaudrait pas la peine
Peu importe si tu n'as pas toujours été là qu'au dernier moment tu reviennes
Je te veux aujourd'hui
Je le veux Lui
S'est-il seulement reconnu?
6 commentaires:
Beau poème mais (pardon, Suzon!) c'est surtout l'image qui me séduit!
oh je te comprends, moi aussi j'ai eu un coup de coeur pour ce tableau
C'est vrai que ce tableau est une pure merveille...et ça va bien aussi avec ton texte, un peu mélancolique...et alors, IL s'est reconnu?????
moi il me terrifie ce tableau. Mais j'aime ton texte.
Le texte et le tableau sont beaux.
Mais on ne s'arrange pas en vieillissant ...
Le tableau produit un tel choc qu'il paraît difficile de le commenter, d'où la prouesse de cette légende poétique, seul le dernier instant compte; je crois que c'est vrai, Philemon et Baucis encore, je crois que sans l'élan de ce poème, j'aurais trouvé le tableau hideux. (ce qui se veut flatteur)
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